Splendeurs et misères des «fritkots»Les baraques à frites belges ont été décimées, mais la résistance s’organise.
Sur la N4, entre le Luxembourg et Namur, notre rédacteur-photo Christian Aschman s'est mis à la recherche des derniers «fritkots». De sa virée en terre belge il a ramené des
clichés pittoresques des spécimens les plus insolites.
Friterie "Solange" à Sinsin
Solange est installée depuis 17 ans dans son bus jaune le long de la N4 à la hauteur de Sinsin
Oxane aide regulièrement sa mère en cuisine
Florian et son père Bruno devant la friterie
"Chez Le Bandurlain" à Bande
Thom tient sa friterie "CUS'THOM" depuis 6 ans à la hauteur de Marche-en-Famenne
La vraie frite se cuit dans du blanc de bœuf et se mange de préférence sous l’auvent d’une baraque, de préférence posée sur roues. Autrefois, on les appelait «fritures». Mais le bon usage du français s’en est mêlé: on parle désormais de «friteries».
"Friterie Marina" à Assesse
Marina utilise toujours le cornet tradionnel
en carton et papier
Les frères Guillermo et Manuel en route pour Charleroi
Friterie à vendre à Courrières
Friterie "Marsupilami" à Bastogne
Friterie "Chez Chantal et Joël" à Martelange. Fermée le dimanche et lundi
Friterie "Chez Mandy" à Losange
Mandy est luxembourgeoise, elle a repris
la friterie il y a un an
Friterie "Micka et Sarah".
Ils sont installés depuis dix ans juste à la
sortie d'Arlon
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Splendeurs
et misères
des «fritkots»
